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    Isolation "sauce cocaïne" pour Marcel Vervloesem


    Marcel Vervloesem, qui a remis aux autorités le fichier de 88'539 photos de crimes réels en 1998, est infligé l’isolation complète, dés que son ONG, le Werkgroep Morkhoven, retrouve une victime vivante. Il a été transféré à la prison de St Gilles à Bruxelles pour un traitement ambulatoire de crimes qu'il est reconnu physiquement incapable d'avoir exécuté. Il est objet d’un règlement inconnu du personnel de la prison, quand on a téléphoné pour connaître les horaires des visites. Il n'a pas pu voir ses collaborateurs et téléphoner, même à sa famille.

    L'Etat traite les visiteurs de la prison de St Gilles comme des chiens, infligés des heures d’attente, debout dans une file qui n’en finit pas, dans le vent, le froid et la pluie. Ceux qui n’ont pas la santé pour supporter ces conditions sont dans l’impossibilité physique de voir leurs proches.

    Nous, "race humaine inférieure", pouvons toutefois faire des découvertes fascinantes, en faisant causette dans la file de la prison de St Gilles. Il paraît que les conditions de détentions favorables s’obtiennent des fonctionnaires pénitentiaires de toutes les prisons, en échange d’adresses où trouver de la drogue chic et pas chère. On comprend donc comment un voyou quasi illettré, proche d’un gang criminel qui est actif dans le trafic de drogues, la prostitution et la pornographie, parvient à publier sur Internet, toutes les conclusions sur le sort réservé à Marcel Vervloesem, longtemps avant qu’elles ne soient officielles!

    C'est assez logique quand l'ex-ministre de la Justice et actuel ministre de la santé plaide pour que tous puissent se déshydrater la cervelle et les émotions sans risque, grâce à des tests gratuits de la qualité de la cocaïne. La drogue donne une illusion d'invulnérabilité et de génie, qui peut mener à croire a un "droit de vie ou de mort" sur autrui. Il y a assez de toxicomanes dans les prisons pour comprendre que les fonctions décisionnelles doivent être strictement interdites aux toxicomanes, quelque soit leur niveau d'éducation. Accepter des toxicomanes dans l'administration est irresponsable et inacceptable, en raison du potentiel de stupidité et de cruauté que peut engendrer la consommation de la drogue.

    En 2005, à l’occasion d’une détention préventive illégale de Marcel Vervloesem, le ministère de la justice répondait en riant: "Mais non, on ne le réveille pas tous les quarts d’heure. On va juste voir s’il n’est pas mort." Un attaché à la direction de la prison de Turnhout avait alors eu le coup de génie de porter plainte pour une menace représentée par une plainte contre X pour non-assistance à personne en danger.

    La toxicomanie peut expliquer l'incroyable désordre dans les services psychosociaux de l'état. Les pièces se perdent. Certains fonctionaires se prétendent en vacances durant trois mois, d'autres brutalisent les prisonniers par des menaces. Le manque de ligne conductrice entre les dossiers laisse penser à un mélange de corruption et de travail désastreux du à la drogue. L'isolation de Marcel Vervloesem pourrait être expliquée par un oubli "sauce cocaïne" de transmettre la liste des personnes qu'il est autorisé à voir, mais il est objet de telles persécutions, qu'on doute d'un accident.

    A présent, Marcel Vervloesem est le seul prisonnier à qui il est interdit d’être jugé ou hospitalisé dans sa juridiction pour des motifs que l’invulnérable Stefaan De Clerk, l’actuel ministre de la justice, est trop génial pour avoir besoin d’expliquer. Nous, race inférieure, devrions croire qu’un nouveau règlement obligerait les prisonniers à suivre le juge d’application des peines en dehors de leur juridiction, comme si la fonction de juge suppléant avait été abolie.

    L'assistant, qui se sentait menacé par une plainte de non assistance à personne en danger, a entre-temps raté son examen pour devenir directeur de la prison de Turnhout. Il est devenu président du collège du personnel, une fonction qui requiert son avis sur la requête d'un prisonnier, sans que les membres du personnel ne doivent voter par oui ou par non à des questions précises. Le dernier collège du personnel était favorable à libération de Marcel Vervloesem pour raison de santé. Celui-ci rejoint l'avis des trafiquants de drogue. Si l’histoire doit se répéter, le tribunal d’application des peines de Hasselt se contentera de remplacer l’orthographe phonétique des trafiquants, par l’orthographe du juge.

    Les trafiquants de drogues estiment que Marcel Vervloesem ne peut sortir de prison, ni avoir accès aux traitements médicaux dont sa vie dépend, tant qu’il n’avoue pas les crimes dont ils l’ont accusés, si incohérents, que pas un seul tribunal, même saupoudré de cocaïne n'aurait trouvé le moyen d’accréditer. Les trafiquants pensent qu'un cancer triplement métastasé de 5 ans, un diabète insulinodépendant, des dysfonctions graves des reins, du cœur et du pancréas sont de la "propre faute" de Marcel Vervloesem, comme leur médecins attribuent les séquelles de leur toxicomanie a "leur propre faute".

    L’an dernier, le Dr Van Mol, médecin chef de toutes les prisons belges, a eu l’originalité de retenir le diagnostique des trafiquants de drogue, en assurant que les maladies de Marcel Vervloesem étaient "de sa propre faute", entre autres parce qu’il serait fumeur, alors qu’il n’a jamais fumé de sa vie. Il interdit son hospitalisation tant qu'il ne soit dans le coma ou que les médecins pensent qu'il n'a plus que trois jours à vivre.

    Depuis, le nouveau président du collège du personnel s’est basé sur ses feuilles de cantine de Marcel Vervloesem pour assurer qu'il serait le seul à blâmer pour ses maladies non traitées, qui seraient à présent "à 50% de sa faute", parce qu’il commande des fruits, ce qu’il confond intelligemment à "des sucreries".

    Les trafiquants sont satisfaits de la censure des médias qu’ils approvisionnent en drogue, mais allergiques à l’exposition de leurs secrets par les ONG des droits de l’homme. Leur seul desideratum que la juge Gossens n’a pas retenu, est de faire châtrer Marcel Vervloesem, comme certains d’entre eux l’ont été dans les pays gouvernés par la charia. A présent, le tribunal d’application des peines de Hasselt devrait interdire à un homme de louer un appartement dans une maison où personne n’a de casier judiciaire, au motif que les ONG des droits de l’homme sont domiciliées à l’étage.

    "Le problème", selon celui qui n’a pas les capacités pour devenir directeur de prison, c’est que "ce sont des gens qui le défendent". Marcel Vervloesem ne serait pas admissible à la surveillance électronique, la liberté provisoire, les congés pénitentiaires et journées de divertissement, à nouveau "de sa propre faute", parce qu’il "n’aurait pas du choisir Bruxelles pour adresse de réinsertion et de réhabilitation. [...] Tous ces idiots et ces organisations feraient mieux d’écrire que M. Vervloesem a été condamné d'une manière légale. [...] Nous ne voulons pas de lettres sur 'le meurtre de Marcel Vervloesem'. [...] Cour européenne des droits l’homme ou non, cela nous intéresse pas. Il a été condamné en Belgique en toute légalité. S'il admet sa culpabilité, il gagnera tout. C'est aussi simple que ça", a dit l'invincible génie.

    Le tribunal de Turnhout instruit les plaintes de trois prisonniers contre de ce fonctionnaire. Nous invitons les plaignants à demander un examen de recherche de toxiques pour définir s'il se drogue, au motif qu'il en porte tous les stigmates, dont une irresponsabilité morbide aigue. C'est aussi simple que ça!

    La seule solution pour arrêter l'abus de situation de faiblesse des prisonniers est de confier à l’armée de diriger les prisons, à la mode militaire, strictement selon le règlement, avec Cour Martiale pour les soldats qui se laissent tenter par la drogue.


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    Infraction à la Législation des Stupéfiants

     

    Le Samedi 23/01/10 à 18h30 se présente au domicile de mon frère Adulte Handicapé le Gendarme Golf (Code Radio) qui me demande les raisons de l’envoi de mon courrier en date du 20/01/10 au DGGN, le Général d’armée Roland GILLES, mais également à L’ITGN, et à bien d’autres personnes…

     

    J’ai simplement répondu au Gendarme Golf que je ne m’appelais pas JAMBERT, ni ROUSSEL , ni ROCHE ( Beaucoup Trop de Monde comprendra malheureusement mon comportement ).

     

    Je lui ai imprimé sur le matériel informatique de mon Frère, le courrier en date du 23/01/10 transmis au commandant LUHERN de la Brigade de Gendarmerie de Mandelieu.

     

    Nous avons évoqué le fait que je ne retirerai pas ma plainte même si tout cela semblait apparemment anodin et que je me réservais toutefois le droit de l’utiliser ultérieurement.

     

    J’ai déclaré au Gendarme Golf que je soupçonnais certaines plaignantes d’être souvent en ILS devant l’établissement concerné pendant qu’elles venaient chercher leurs enfants.

     

    En effet, tous les services de Police ou de Gendarmerie qui semblent s’intéresser aux nombres de jours consécutifs que je porte à l’attention de mon frère lourdement handicapé afin d’empêcher à moyen ou long terme la réinscription de mes enfants sur la commune de Mandelieu le Napoule en précisant que je suis reçu trop souvent chez mes parents, n’ont jamais remarqué que je me garais parfois sur le parking situé au 22 avenue Janvier Passero environ 30 minutes avant la sortie des classes.

     

    A cet endroit bien particulier, je peux facilement voir tout ce qui se passe, devant l’immeuble le Grand Près.

     

    Donc si je faisais partie du service des stupéfiants dont la charge incombe autant à toute BT ou BR et autres mais aussi à tout fonctionnaire de PN ou PM, je ferai une enquête serrée concernant les locataires de cet immeuble qui se trouvent à 200 mètres de l’école Marie Curie.

     

    Ce qui interpellait le Gendarme Golf même s’il m’a déclaré qu’effectivement l’ILS était un délit très grave à ses yeux comme aux miens, c’était paradoxalement mon adresse ; même si la loi ne m’impose pas de rester chez mon ami à MANDELIEU où j’ai domicilié mon contrat d’assurance habitation ; plutôt que d’aller porter assistance régulièrement avec mon épouse, à mes parents âgés et usés par notre situation sociale bien particulière ainsi qu’à mon frère lourdement handicapé.

     

    Il apparaît clairement que les incidents du 15/09/09 au 18/09/09, les menaces qui ont suivi devant des caméras et des témoins assermentés prouve que la bulle volontaire ou involontaire qui couvrait les ILS ou autres infractions de certaines personnes qui se sentaient apparemment au dessus des lois, a subitement explosé.

     

    La difficulté de réinscription de mes deux enfants dans la commune de Mandelieu la Napoule où je réside prouvera à moyen ou long terme l’acharnement social de certains fonctionnaires qui ne semblent pas véritablement apprécier les faits probants que je dénonce comme l’impose la loi et qui font paradoxalement une enquête sociale sur ma famille alors qu’une attention particulière de tous mes faits m’est imposé depuis l’émission de mon rapport de pédophilie à CANNES en 2001.

     

    PS : Je me réserve le droit de diffuser cet article à l’ensemble des autorités de Police et de Justice Européennes afin que cesse l’attitude de l’Administration Française qui focalise sur les détails de la vie de l’ensemble de ma famille alors que des crimes ou des délits flagrants sont couverts depuis bien trop longtemps par la puissance sociale de certains politiques qui souhaitent que mes enfants soient scolarisés dans cette belle ville de CANNES où tout le Monde connaît les liens particuliers qui me lient à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND qui règne avec son équipe municipale bien particulière et même plutôt atypique sur toutes les administrations de sa commune y compris sur l’ensemble des établissements scolaires qui pourraient bien vouloir exposer volontairement mes enfants à un traitement aussi particulier que celui que je subis avec mon épouse depuis des années.


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  •  Monsieur VERDI  Patrice                                                        Cannes la Bocca le 25/01/10

                     à

     

    Monsieur le Président Jacques LEGER

    Cour Administrative d’Appel de Marseille

    45 boulevard Paul-Peytral
    13291 Marseille Cedex 06
    Téléphone : 04 91 04 45 45
    Télécopie : 04 91 04 45 00 
    Courriel : greffe.caa-marseille@juradm.fr

    Monsieur le Président,

    J’ai reçu le 19/10/09 une LR qui me préconisait subitement l’assistance d’un avocat dans l’affaire N° 09MA03146 sous peine d’irrecevabilité de ma requête pour excès de pouvoir contre la ville de CANNES dans un délai très court d’un mois.

    Je tiens à vous préciser que ce courrier ne me préconisait pas paradoxalement l’assistance d’un avocat concernant le dossier N° 09MA03147 qui est également enregistré par vos instances pour excès de pouvoir contre l’administration CANNOISE à laquelle je demande également 1 Million d’euros de dommages et intérêts pour le délit réitéré pendant des années de retard de paiement de mes indemnités mensuelles sur ordre de subordination ou simplement par volonté personnelle délictuelle du receveur percepteur municipal qui a entraîné des problèmes sociaux discriminatoires totalement probants et inadmissibles.

    La CAA de Marseille a donc légalement tenté de rendre irrecevable mes plaintes après les avoir enregistrées.

    Je viens de recevoir les quelques pièces du mémoire en défense concernant les deux affaires ;

    Il apparaît clairement que la Ville de CANNES ne tient pas à aborder les sujets relatifs à tous mes courriers qui insistent sur la violation de mes droits de fonctionnaires mais aussi de père de famille et de citoyen sans chercher à comprendre une quelconque causalité qui expliquerait le lien de cette conjuration politique entre mon exclusion sociale, les réseaux pédophiles et l’omerta publique liée à ce problème sociologique contemporain qui a été résumé avec perspicacité sur la toile par l’association Princesses de CROY et Massimo Lancellotti depuis l’URL suivante :

    http://droitfondamental.eu/001-festival_de_Cannes_pour_un_policier_municipal___fr.htm

    Il n’existe donc à mon sens qu’une seule explication probable :

    La défense tient à régler le problème sans en aborder son exhaustivité sur le fond social du problème bien évidemment avec l’accord tacite de certaines autorités administratives ou politiques qui tiennent à régler le problème aussi rapidement que le TA de NICE qui a démontré son favoritisme dans cette affaire en usant d’un MOP de dernière minute pour annuler des années de procédure.

    Dans tous les cas, je tiens à vous faire parvenir l’intégralité des pièces des deux dossiers depuis 2001 afin que l’ensemble de mes droits soient respectés comme le prévoit le CJA auquel personne ne devrait pouvoir se dérober par certaines astuces procédurales.

    Veuillez agréer Monsieur le Président l’expression de mes salutations distinguées.

    VERDI Patrice

    PS : IL existe une classification des Fonctionnaires à CANNES :

    Ceux qui commettent des délits à caractère sexuel et qui sont inculpés ou pas à moyen ou long terme.

    Ceux qui dénoncent des crimes à caractère sexuel et qui perdent curieusement toute fonction sociale peu de temps après.

    PS2 : Je me réserve le droit de diffuser cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient établies dans ce dossier.


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    Monsieur  VERDI  Patrice                                                
     
    Mandelieu  le  20/01/10

    à

    Monsieur le Commandant LUHERN  

    Gendarmerie Nationale 

    675 Bld des Ecureuils 06210 Mandelieu La Napoule 

    Tel : 04 93 49 27 97 Fax : 04 92 97 72 99

    Monsieur le Commandant,

    Je viens de prendre connaissance de la convocation de ce jour à laquelle je ne peux me rendre pour des raisons de santé.

    J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous faire part de mon étonnement concernant la convocation du Gendarme MINGON de THEOULE SUR MER car le problème semblait avoir été réglé définitivement d’après les déclarations claires du MDLC MAILLARD qui soulignait précisément en quelques minutes l’aspect mineur du problème évoqué par mon épouse et mes parents convoqués initialement le 22/09/09 à la Brigade de Gendarmerie de MANDELIEU.

    Il semble donc qu’une mise au point soit exigée de nouveau par certaines personnes qui souhaitent apparemment en découdre une fois de plus par l’intermédiaire des services de Gendarmerie et en font donc une affaire d’ETAT mais oublient certainement qu’une caméra de surveillance de 360 degrés se trouve face au parking ouest de l’école primaire Marie Curie et prouve donc irrémédiablement que mon épouse a été bloquée intentionnellement puis insultée et menacée entre le 15/09/09 et le 18/09/09 par les plaignantes mais aussi et surtout par un individu Brun de type Européen d’une taille de 185 cms environ, d’un poids approximatif de 95 kilos qui présente la particularité d’être tatoué avec des motifs de couleur sur les deux triceps et se trouve donc être une relation de qualité des plaignantes qui ont utilisé cet énergumène pour menacer mon épouse et ma fille âgée de sept ans pendant plusieurs jours à la vue et au su de tous y compris des Fonctionnaires de Gendarmerie qui amènent régulièrement leurs enfants dans cette école et démontrent quotidiennement les liens amicaux particuliers qui se sont noués avec toutes ces bienveillantes mères de Famille.

    De plus, les déclarations précédentes ne font part à aucun moment de l’usage régulier de la place handicapée sur le parking de cette école élémentaire grâce à l’attitude complaisante systématique de l’administration scolaire représentée par sa Directrice Madame PIERRE pour les plaignantes qui n’ont pas la carte réglementaire que je possède en l’occurrence pour transporter mon frère adulte handicapé mais usent et abusent de cet emplacement bien particulier.

    Tous ces dysfonctionnements et mon expérience policière m’amènent à penser que la GAV reste la seule arme que ces plaignants souhaitent me faire appliquer par vos services ou d’autres car la complicité sociale est palpable et probante entre toutes ces personnes qui tendent à me voir disparaître de cette commune par des moyens judiciaires démesurés.

    Je préfère donc éviter toute bavure potentiellement probable qui ne couvrira personne en aucun cas car nous savons que le problème n’est certainement pas lié à la circulation des véhicules devant cette école mais plutôt à l’hypocrisie du système qui tend à détruire socialement ma famille depuis dix ans en utilisant des personnes sans aucun sens moral.

    Je vous prie de croire Commandant LUHERN en l’expression de mes salutations distinguées.                 VERDI Patrice.

    PJ : TROIS CERTIFICATS MEDICAUX 


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  • BONNES FETES A NOS AMIS LES POLITIQUES

    J'ai pris connaissance de l'histoire de Mme Maria-Pia MAOLONI et de ses petites filles Fiona et Milla ANTONINI sur Internet.

    Je suis stupéfait d'apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.

    Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n'a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.

    De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.

    Je dois vous dire que j'ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.

    J'ose espérer que vous pourrez m'éclairer sur la question.

    Cordialement,

    VERDI Patrice

    34 Rue René Dunan

    06400 CANNES FRANCE

    PS : Je suis un ami de Monsieur Marcel VERVLOESEM, son destin semble lier à la part de pédocriminels qui se trouvent de toute évidence au sein de nombreuses institutions politiques ou gouvernementales Françaises, Belges ou Européennes.

    Vous ne le saviez pas ?

    Maintenant vaus le savez et tout le monde saura que vous devenez les complices de la détention et des tortures de Monsieur Marcel VERVLOESEM à Turnhout en Belgique.

    PS2 : http://droitfondamental.eu/

    Pédophilie à Cannes sur GOOGLE ou tout autre Moteur de Recherche.

    PS3 : PASSEZ DE BONNES FETES.

     

     

         

    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 05:33   0 COMMENTAIRES  LIBELLÉS : , 

    MARDI 24 NOVEMBRE 2009

    MERCI ALBERT





    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 07:58   0 COMMENTAIRES  LIBELLÉS : 

     

    AFFAIRE ROCHE : Une justice qui détruit les Victimes ou les Bourreaux ?



    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 01:49   0 COMMENTAIRES  LIBELLÉS : 

     

    JEUDI 12 NOVEMBRE 2009

    LES MURS DE LA HONTE



    Marcel Vervloesem en cellule d’isolement 

    Lorsque l’activiste Marcel Vervloesem, gravèment malade, à été transféré de la prison de Bruges vers la prison de Turnhout, tout le monde de son environnement a cruque son calvaire était fini a pour cause Le PSD (centre psycho social) de la prison de Bruges par qui il a été mené en bateau pendant des mois. Il leur a fallu 3 semaines avant de bien vouloir transférer son dossier au PSD de laprison de Turnhout. 

    Le docteur Mol, directeur-général du service de santé pénitentiare du Ministère de lajustice de Bruxelles, à qui il a fallu presque deux mois afin de transférer le dossier chirurgical de Marcel Vervloesem du centre médical de la prison de Bruges vers celui de Turnhout. 

    Une fois tous les dossiers et rapports arrivés à bon port, voilà que les choses tournent à nouveau mal. 

    Bien que Marcel Vervloesem entrait en considération pour un accompagnement ambulatoire avec l’équipe du professeur-psychiatre Cosyns de l’institution universitaire à Anvers, et que le PSD de la prison de Turnhout était déjà le 8 août 2009 en possession de toutes les pièces nécéssaires, l’affaire continuait à traîner. 

    Même quand le collège du personnel de la prison de Turnhout à dit qu’ils n’avaient aucune objection à ce que l’équipe du docteur Cosyns, en accord avec le PSD établisse un plan d’accompagnement, rien n’avancait. 

    Le PSD de la prison de Turnhout prétendait que docteur Cosyns n’avait pas encore répondu à ses lettres vu que le docteur Cosyns était en vacances, etcétéra, etcétéra. 

    Tout comme le dossier du PSD en matière de demande de congé pénitentaire, ou jour de sortie, surveillance électronique, mise en liberté provisoire pour raison médicale,rien n’a été fait. 

    Marcel Vervloesem craint que toute action entreprise auprès du PSD de la prison de Bruges, risque de se répéter à Turnhout. 

    Quelques semaines avant la date butoir, il semblait que le PSD n’avait pas encore finalisé son rapport. 

    Le Ministre de la justice De Clerk fût avertit à plusieurs reprises des difficultés rencontré avec le PSD, ces avertissement n’ont apporté aucun résultat. 

    Marcel Vervloesem expliqua les problèmes rencontrés avec le PSD dans une lettre adressée à l’asbl Werkgroep Morkhoven, publiée sur le site internet de l’asbl. 

    De cela a résulté qu’un Erwin Boosten, psychologue du PSD de Turnhout, furax convoqua Marcel Vervloesem dans son bureau et l’insulta sans nom. 

    Boosten lui a dit que l’accompagnement ambulatoire que Marcel Vervloesem attend depuis trois mois est une mauvaise idée, et qu’il y veillera personnellement à ce que les visites et la correspondance soit restreinte. Il exiga que Marcel avoue « les faits » pour lesquels il a été blanchi. 

    En une fraction de seconde tout espoir de Marcel Vervloesem fût anéanti, ce qui a mené à une aggravation de son état de santé. Il ne voit pas comment sortir de cette situation, et pense inévitablement au suicide. 

    Le Werkgroep Morkhoven en avertit à nouveau le Ministre De Clerk. 

    Il y a quelques semaines des lettres de la fille de Marcel Vervloesem et de l’activiste Yvonne van Hertum une collaboratrice Hollandaise ont été retenues. 

    Une fois deplus le Ministre De Clerk en fût avertit. 

    Hier trois jours avant la date butoir Marcel Vervloesem reçu enfin le rapport de conseil de la direction de la prison de Turnhout établit par le PSD. 

    Le rapport est négatif sur toute la ligne. Le service psychosocial assure qu’un congé pénitentiaire est impossible, « parce que cela remettrait Marcel Vervloesem dans le milieu de la lutte contre la pédophilie, où les faits se sont déroulés». 

    De même, selon le rapport, l’acteur Jo Reymen, qui soutient Marcel Vervloesem indépendamment de l’asbl Werkgroep Morkhoven, serait une personne « qui fait partie du milieu de la lutte contre la pédophilie, milieu dans lequel les faits se sont déroulés». 

    Le rapport refuse toute considération que Marcel Vervloesem puisse rendre visite à sa fille et ses petits-enfants, « parce que cela pourrait inquiéter les ‘victimes’de l’entourage ». 

    Il a été évoqué que les « possibles » contacts avec les médias pourraient inquiéter les victimes (mais c’est surtout la révélation de la politique d’étouffement autour de l’affaire de pornographie infantile de Zandvoort qui inquiète certains politiciens). 

    Cela aussi pousse Marcel Vervloesem au désèspoir. 

    Par soi-disante mesure de sécurité Marcel Vervloesem a été mis en cellule d’isolement, sans télévision, ni radio, ni aération, avec un lit cloué au sol aussi qu’un pot sanitaire. 

    En céllule il ne recevait déjà pas à boire ni de fruits. 

    Il a été décidé de le mettre 7 nuit en isolation( toutefois s’il ne se suicide pas ou s’il ne subcombe pas à un infarctus. 

    Aucun rapport disciplinaire ne sera établit lui dit la direction de la prison de Turnhout,pendant que cette isolation inhumaine et martyrisante ne sera aucunement bénéfique à sa santé et aux nombreuses douleurs qu’il ressent. 

    On ne toucherait pas à son droit de visite, son droit à la correspondance, son droit de téléphoner, aux promenades journilières ( si sa santé le lui permettait).

    ———————-

    Voici une liste avec plus de 20 hospitalisations d’urgence et d’opération subit par Marcel Vervloesem et qui ont été envoyés plus de 40 fois au Ministre De Clerk et ses collaborateurs de cabinet.

    Le Ministre qui prône une justice « humaine et équitable » estime qu’un prisonnier ne peut être sorti de prison que 3 jours avant sa mort supposée bien qu’il autorise de temps en temps des execptions pour des raisons vagues.

    1) Cancermalin – Hopital St H. Hart à Lier – 2 fois
    2) Reins – 5 fois – Hôpital St Elisabeth à Herentals
    3) Pancréas – 2 fois – 1X Hopital St H. Hart à Lier, 1X UIA d’Anvers
    4) Urgence en soins intensifs pancréatite 2 –
    5) Urgence en soins intensifs pancréatite 1 – UIA d’Anvers
    6) Soins intensifs – Hôpital Fabiola à Sambreville/Hôpital St Elisabeth àHerentals 11X
    7) Reins – Gasthuisberg à Louvain – 2 X
    8. Disfonctionnement cardiaque opération à l’AZ Imelda Bonheiden – 3X
    9) Soins intensifs diabétiques – Hopital St H. Hart à Lier 4X
    10) Reins – Hopital St H. Hart à Lier – 1X
    11) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges – 1X
    12) Dialyse rénale – Hopital St H. Hart à Lier- 1X
    13) Hémorragie interne – AZ St Jan Bruges – 1X
    14) Opération – AZ St Jan Bruges – 1X
    15) Placement chirugical de tuyaux de dialyse – AZ St Jan Bruges – 1X
    16) Soins intensifs cardio – St Elisabeth Turnhout – 1X
    17) Urgence soins intensifs anémie (leucémie) – St Elisabeth Turnhout – 1X
    18) Urgence soins intensifs – St Elisabeth à Herentals – 1X
    19) Opération du coeur – AZ St Jan Bruges
    20) En date du 14 mai 2009 il devait du à des problèmes cardiaque consécutif entre autre au manque de médication et un traitement insuffisant être admit enurgence à l’hôpital AZ Sint Jan Bruges mais la direction de la prison avec son avis négatif a réussi 1 jour avant l’admission sur base du rapport du PSD éviter cette admission.

    Toutes ses hospitalisations d’urgence ont eu lieu pendant l’année d’emprisonnement de Marcel Vervloesem à la prison de Turnhout et la prison de Bruges.

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    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 15:00 0 COMMENTAIRES LIBELLÉS : 

    MERCREDI 4 NOVEMBRE 2009

    SAUVONS Monsieur Marcel VERVLOESEM avant le 07/11/09


    Modèle de lettre à envoyer en urgence aux responsables politiques internationaux :

    DETENTION INHUMAINE DE MARCEL VERVLOESEM

     

    DIRIGEANTS A COMPTER DU 07/11/09

     

    NE DEVENEZ PAS DES CRIMINELS POTENTIELS

     

    Les pressions et l’inertie du PSD, mènent Marcel Vervloesem vers le suicide

    Marcel Vervloesem, qui ne s’est jamais plaint de douleurs, malgré toutes les graves pathologies, dit à présent qu’il souffre constamment de douleurs aiguës. La dernière étape étant sa mort programmée en prison, le ministère de la justice belge va jusqu’à lui refuser les soins, pour atténuer ses souffrances. Le comité de l’euthanasie a refusé de remplir sa fonction, qui consiste à préconiser les soins pour atténuer les douleurs insoutenables inhérentes aux maladies terminales.

    Marcel a écrit à l’association Tevirepedo, qu’il ne peut plus supporter les incessantes manœuvres de l’administration de la justice pour l’empêcher de bénéficier de ses droits à soigner son cancer, son cœur, ses reins et son diabète ainsi que son anémie comme tout citoyen européen. Il n’y a pas droit, car marqué à la culotte de l’infamie, pour avoir eu l’outrecuidance de dénoncer depuis 11 ans les 90 000 petites victimes du réseau pédocriminel Zandvoort. Il n’a jamais plié, ni aux cabales judiciaires, ni aux pressions, aux menaces, même l’expulsion de sa maison, pour prétendre justifier de lui refuser la libération conditionnelle.

    Pour lui il n’y aura ni congé pénitentiaire, ni de libération pour raison de santé, ni libération conditionnelle pour bonne conduite, ni bracelet électronique car il gêne la pédocriminalité organisée en Belgique, semble t’il protégée par les plus hautes instances de ce petit pays. Pour lui il n’y aura pas de soins, à moins qu’il n’accepte de retourner à la prison de Bruges enchaîné comme un chien dans un fourgon-cage pendant 12h, sous prétexte de lui faire un cathétérisme cardiaque qui pourrait être fait près de la prison de Turnhout où il se trouve. Le seul objectif était de le maintenir à Bruges, où il a été soumis à la torture.

    Il a subi les chantages aux soins les plus inhumains pour faire taire les sites Internet qui ne se soumettent pas à la censure et le soutiennent. Le comble du ridicule a été atteint lorsqu’un jugement a refusé une libération sous contrôle électronique parce que ces sites dénonçant la justice étaient gérés au premier étage du lieu où il aurait pu être accueilli pour y être soigné…

    Il a été incarcéré contre l’avis médical de neuf médecins dont des experts de justice étant donné ses antécédents de santé: sept opérations majeures en ces dix dernières années: trois à cœur ouvert dont pour un double pontage cardiaque. Une quatrième opération au pancréas, une cinquième aux reins. Une sixième opération pour deux cancers et une septième pour un troisième cancer, en l’espace de dix mois.

    Les tortures et refus de soins l’ont emmené six hospitalisations durant six premiers mois de son incarcération : cinq fois à l’hôpital universitaire St Jean de Bruges et une fois à l’hôpital St Élisabeth de Turnhout.

    * 27 jours de cellule d’isolation au centre médical
    * 2 jours soins intensifs: coma diabétique – réhydratation
    * 5 jours en soins intensifs coma diabétique, cardiologie et leucémie (Turnhout)
    * 1 demande d’euthanasie, suivie de tentative de suicide
    * 1 opération cathétérisme cardiaque
    * 1 opération des reins
    * 1 opération hémorragie interne
    * 5 dialyses
    * 1 opération hémorragie
    * 1 amputation de gangrène
    * 4 transfusions de sang (3 litres)
    * 2ieme tentative de suicide
    * 1 opération pour quadruple cautérisation cardiaque

    Toutes les instances Belges et une centaine de parlementaires européens ont été informées de la gravité de sa situation de santé et des chantages exercées sur lui. Certains ont renvoyé les mails trois mois plus tard avec la mention « non lu » de l’appel à l’aide : « alerte traitements indignes et inhumains d’un détenu belge » . Il n’y a eu qu’une réponse laconique et administrative de la présidente de la sous-commission des droits de l’homme, qui nous a informé que ses prérogatives étaient extérieures à l’Union et que ce problème relevait de l’État qui devait appliquer la Convention Européenne des Droits de l’homme.

    Mais pour le « chasseur de pédophiles autoproclamé » comme l’a si minablement appelé la presse belge en son temps « pour hurler avec les loups » et qui se tait aujourd’hui en cœur, il n’y a pas de droit sauf celui de réclamer que la mort abrège ses souffrances…

    Les organisations, qui n’ont d’humanitaire que le nom, n’interviennent qu’à partir du moment où cela n’est pas dangereux ni pour elles-mêmes, ni pour les puissants de ce monde. Nous n’avons eut aucune réponse des divers FIDH, LDH, CEDH, Amnesty International, CICR ou OIP.

    Le service « psychosocial » ou PSD a sciemment refusé d’envoyer son rapport en temps et en heure pour permettre à Marcel Vervloesem de bénéficier d’un congé et d’une libération conditionnelle. Un psychologue, dont on peut s’interroger sur le respect qu’il a de sa déontologie, lui aurait dit que le jugement devant décider de sa libération pour bonne conduite en décembre, serait reporté du fait que l’affaire était « trop sensible pour les médias ».

    De même, ce psychologue aurait reçu, avec le psychiatre Delander, le pouvoir de l’administration de lui interdire tout courrier, communication téléphonique, visite et même de congé pénitentiaire, durant les trois prochaines années, si les « crapules » susmentionnées continuent à publier leurs articles. Ces pressions, émanant de la justice belge qui semble bien instrumentaliser des professionnels de la santé, dépassent l’entendement dans un pays qui se veut démocratique.

    Ce psychologue prénommé Erwin a dit à Marcel qu’il ne sera libéré, que s’il avoue les viols, notamment le viol de l’actuel Président du Conseil de la Police, que tous les tribunaux belges ont reconnus inventés.

    Toutes ces manœuvres ont pour but de le transférer à la prison de Bruges où il sera maintenu jusqu’au jugement dans l’optique d’obtenir encore une fois le refus de libération de Marcel Vervloesem pour l’y laisser mourir.

    Imaginez cet homme extrêmement malade recevant ce genre de nouvelles de la part d’un homme censé lui apporter un peu d’humanité et de compréhension, dans cet océan de cruauté, n’aurait il pas envie d’en finir ?

    On constate quelle responsabilité porte les intervenants sur la décision d’en finir de Marcel Vervloesem quant on sait que cette année n’a été qu’une succession de pressions et manœuvres digne des pays les plus totalitaires et des époques les plus noires de notre histoire. Quant on enlève à un homme tout espoir de mieux être dans sa chair alors on le condamne à vouloir désirer la mort comme une délivrance..

    Nous ne voulons pas que Marcel Vervloesem se suicide et nous ne lui souhaitons pas d’arriver à ses fins car c’est bien ce que voudrait l’ensemble des personnes qui ne cessent de contrecarrer l’exécution des demandes de droit qui sont faites pour ce détenu, ce qui prolonge sa détention et mette sa vie en extrême danger. Mais de toute manière nous continuerons à nous battre pour la protection des témoins de la criminalité organisée en Belgique comme dans les autres pays d’Europe quoiqu’il arrive à Marcel Vervloesem et pour faire connaître l’enfer que réservent aux victimes et aux témoins des réseaux pédocriminels ceux qui s’en font les complices quant ils se trouvent à des postes de pouvoir.

    LES AMIS DE L’association MARCEL VERVLOESEM-TEVIREPEDO

    NOM :

    PRENOM :

    FONCTION SOCIALE ET/OU PAYS :

    LISTE DES DIRIGEANTS INTERNATIONAUX A CONTACTER :

    ADRESSES DES DESTINATAIRES POUR ENVOYER LA LETTRE:


    DIRECTION FONCTION ADRESSE EMAIL

    Mr BENSAIDA TAOUFIK Directeur de l’aide à jeunesse et du service de protection judiciaire de Mons (Belgique)

    taoufik.bensaida@cfwb.be
    spj.mons@cfwb.be

    Mr DE VOS Bernard Délégué général des droits et des intérets des enfants (Belgique)
    dgde@cfwb.be

    Mme KLOECK Kristine Directeur général de Child Focus (Belgique)
    110@childfocus.org

    Mr BARROT Jacques Vice Président de la Commission Européenne
    jacques.barrot@ec.europa.eu

    Mr DECLERCK Stefaan Ministre de la Justice (Belgique)
    stefaan.declerck@just.fgov.be

    Mme LAMBOT Laetitia Secrétariat de la Commission de la Déontologie, Direction générale de l’Aide à la jeunesse (Belgique)
    laetitia.lambot@cfwb.be

    Mme ONKELINX Laurette Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires sociales et de la Santé (Belgique)
    info@laurette-onkelinx.be

    Mr MELCHIOR Wathelet adjoint au Premier Ministre et Secrétaire d’Etat à la Politique des familles
    info@wathelet.fed.be

    Mr DE GUCHT Karel Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires étrangères
    info@diplobel.fed.be

    Mme Navanethem Pillay Haut-Commissaire aux Droits de l’Homme
    infodesk@ohchr.org

    UNICEF
    cbu@unicef.be
    brussels@unicef.org

    AMNESTY INTERNATIONAL
    amnestynews@amnesty.fr
    webmestre@amnesty.fr

    MEDIATEUR EUROPEEN
    EO@ombudsman.europa.eu

    Mme Dominique ROZENBERG Direction de la Ligue des Droits de l’Homme (Belgique)
    drozenberg@liguedh.be
    ldh@liguedh.be

    Mr JUAN MIGUEL PETIT Rapporteur du respect des droits de l’enfant contre l’exploitation sexuelle et la pédo-criminalité
    urgent-action@ohchr.org
    tb-petitions@ohchr.org
    1503@ohchr.org

    Mr Hans-Gert Pöttering Président du Parlement Européen

    epbrussels@europarl.europa.eu

    Mme Roseline DEMOUSTIER Directeur général du Service Public Fédéral de la Justice (Belgique)

    roseline.demoustier@just.fgov.be

    Mr Jean GAUTIER Direction générale des affaires Consulaires; Ministère des Affaires Etrangères

    jean.gautier@diplobel.fed.be

    Mr Andrew DRZEMCZEWSKI Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée Parlementaire

    andrew.drzemczewski@coe.int

    Mr P. Nikiforos DIAMANDOUROS Médiateur Européen

    eo@ombudsman.europa.eu

    Secrétariat Conseil des Barreaux Européens

    cdcj@coe.int

    Mme Josiane PAUL Chef de service de la Direction générale
    De la Législation et des Libertés et Droits
    Fondamentaux; Autorité centrale
    d’entraide judiciare Internazionale
    en matière civile

    rapt-parental@just.fgov.be
    kinderontvoering@just.fgov.be

    Mr Luis MORENO-OCAMPO Procureur de la Cour Pénale Internationale

    otp.informationdesk@icc-cpi.int

    AJE, Association des journalistes Européens / section française

    contact@ajefrance.com

    Mr Francesco CRISAFULLI Co-agent de la Cour Européenne des Droits de l’Homme

    francesco.crisafulli@esteri.it

    Mr Sandro SIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles

    segreteria.bruxelles@esteri.it
    ambbruxelles@esteri.it

    Mr POPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)

    segreteria.mons@esteri.it

    Mr FRATTINI Ministre des Affaires Etrangères en Italie

    segreteria.frattini@esteri.it

    Ministère des Affaires Etrangères, Autorité Centrale italienne (Italie)

    dgit4@esteri.it

    Mme Valeria PROCACCINI Ministero della giustizia; Dipartimento minorile (Italie)

    autoritacentrali.dgm@giustizia.it

    Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
    Gli affari di giustizia (Italie)

    segrpart.dag@giustizia.it

    Mr Pietro MARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)

    vicecapodipartimento.dag@giustiziacert.it

    Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale del contenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)

    giovannipaolo.nuvoli@giustizia.it

    Mme Maria Teresa SARAGNANO Direttore generale della Giustizia civile (Italie)

    segreteria.dgcivile.dag@giustizia.it




    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 12:54 0 COMMENTAIRES LIBELLÉS : 

    VENDREDI 30 OCTOBRE 2009

    PEDOPHILIE et INJUSTICE : Sauvons FIONA et MILLA de Leurs BOURREAUX !

    ACTION DE SOLIDARITE POUR AIDER FIONA ET MILLA

    Bonjour,

     

    Je suis Maria-Pia MAOLONI, maman de Fiona (10 ans) et Milla (6ans).

    Cela fait plus de 1020 jours que je n’ai plus de nouvelles de mes enfants depuis le 19 mai 2007, jour de leur rapatriement ILLEGAL en Belgique (selon la décision de la Cour de Cassation à Rome, juin 2008) et confiées à leur père et grand-père pédophiles.

    A ce jour, je n’ai AUCUNE réponse sur le devenir de mes enfants de la part des institutions belges. Je ne sais pas où elles se trouvent exactement et comment vont-elles, depuis déjà plus de deux ans et demi!

    C’est pourquoi, je m’adresse à vous pour vous demander de participer, si vous le souhaitez à une action dite de « solidarité» dans le but que les institutions se mobilisent et m’apportent des informations concrètes sur la situation de Fiona et Milla.

    Le principe est simple, il faut envoyer le 8 de chaque mois une lettre déjà rédigée (juste à faire un copier-coller du modèle de lettre ci-dessous) à toutes les institutions nommées ci-dessous.

    Plus nous serons nombreux à nous joindre à cette action, plus vous m’aiderez à savoir comment se portent Fiona et Milla et, également dans ma démarche de revoir mes petites filles au plus vite.

    Pourriez-vous me confirmer votre participation sur mon adresse email (mariapia@live.fr)?

    L’union fait la force, dit-on! En tant que citoyen, nous devons réunir notre énergie pour lutter contre la violence sur nos enfants. Le silence et l’indifférence sont COMPLICES des actes criminels infligés sur mes enfants.

    Je vous remercie pour vos démarches qui représentent, à mes yeux, l’espoir que des valeurs d’humanité et de respect pour la vie existent encore chez certaines personnes qui ont le courage de les défendre.

    Au nom de Fiona et Milla, je vous remercie infiniment,
    Maria-Pia MAOLONI,
    Maman de Fiona et Milla
    « sauver un enfant, c’est sauver l’humanité entière »
    http://sauvons-fiona-et-milla.blogspot.com
    http://salvarefionaemilla.blogspot.com

    MODELE DE LETTRE A ENVOYER:

    J’ai pris connaissance de l’histoire de Mme Maria-Pia MAOLONI et de ses petites filles Fiona et Milla ANTONINI sur Internet.

    Je suis stupéfait(e) d’apprendre que ces 2 petites filles enlevées en Italie, sont, à ce jour, séquestrées en Belgique par leur famille paternelle, suspectée d’abus sexuels sur celles-ci.

    Leur maman, Maria Pia MAOLONI, n’a plus de nouvelles depuis plus de 1020 jours.

    De plus, la famille maternelle qui réside en Belgique ne peut avoir contact avec Fiona et Milla.

    Je dois vous dire que j’ai du mal à comprendre pourquoi Fiona et Milla sont aussi bien privées de contact avec leur maman et avec leur famille maternelle depuis autant de temps.

    J’ose espérer que vous pourrez m’éclairer sur la question.
    Cordialement,

    NOM et PRENOM



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    Mr Sandro SIGGIA Ambassade italienne à Bruxelles

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    ambbruxelles@esteri.it

     

    Mr POPONCINI Vice Consul de l’Ambassade Italienne à Mons (Belgique)

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    Mme Valeria PROCACCINI Ministero della giustizia; Dipartimento minorile (Italie)

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    Mr Italo ORMANNI Capo del dipartimento per
    Gli affari di giustizia (Italie)

    segrpart.dag@giustizia.it

     

    Mr Pietro MARTELLO Vice capo dipartimento per gli Affari di giustizia (Italia)

    vicecapodipartimento.dag@giustiziacert.it

    Mr Giovanni Paolo NUVOLI Direzione generale del contenzioso e dei diritti umani (Ministero della Giustizia italiana)

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    PUBLIÉ PAR NONPREVU À L'ADRESSE 20:55 0 COMMENTAIRES LIBELLÉS : 

    MERCREDI 21 OCTOBRE 2009

    RESEAUX PEDOPHILES : La Lutte contre une Pandémie MONDIALE !

    Il y a seulement quelques mois , la plus grande opération anti pédophiles sur Internet venait de se conclure.

    170 personnes arrêtées, 14 enfants sauvés.

     

    Tout a commencé en Australie, dans le Queensland, en 2006. La police découvre, par hasard, une vidéo sexuellement explicite montrant une jeune fille. L’enquête locale va se transformer en une des plus grandes opération anti pédophile de la planète. Une opération d’abord baptisée Koala, puis Joint Hammer.

    Cette action va permettre de sauver 14 jeunes filles, dont certains étaient âgées d’à peine 3 ans. Environ 170 personnes ont été arrêtées de part le monde, plus de 60 étaient originaire des Etats-Unis d’Amérique. Sept réseaux dédiés à la pédo-pornographe, des Rings, ont été démantelés. « Et l’enquête est loin d’être terminée » confirme le service presse du Federal Bureau of Investigation(FBI).

    Cette action d’envergure a été montée en partenariat avec le Department of Justice (DOJ), l’United States Postal Inspection Service (USPIS), l’U.S. Immigration and Customs Enforcement (ICE), la police Belge, Europol, …


    Cyber chasseurs en marche

     

    Tout a donc débuté avec les Autorités du Queensland. La vidéo qu’ils vont découvrir va être ciblée grâce aux langages des personnes filmées. Un dialogue en flamand qui va permettre de remonter la trace du pédophile, un belge. La police de la FCCU, Federal Cyber Crime Unit, va identifier et arrêter l’agresseur. Ce dernier va rapidement fournir sa source, un administrateur italien d’un ring pédo-pornographique. La Guardia di Finanza va mettre la main sur ce webmasteur et faire fermer son site Internet. 50,000 e-mails vont être saisis.




    Des courriers électroniques qui vont servir d’ossature à l’opération Joint Hammer. Europol va se cherche de traquer les pédophiles via 28 pays européens, dont la France, l’Espagne, l’Italie, l’Allemagne, … Parmi les courriels, 11,000 ont été ciblés aux USA. 700 personnes ont été surveillées à partir de cette base de données. Une surveillance mise en place, sur le sol de l’Oncle Sam, par le FBI, l’USPIS et ICE.

    L’enquête est toujours en cours, mais les principaux prédateurs sexuels considérés comme très dangereux ont été arrêtés. L’un d’eux, un américain du New-Jersey, qui caché dans son ordinateur pas moins de 130,000 images d’enfants. Il en produisait aussi avec sa fille de 9 ans.

     

    Il a été condamné à près de 20 ans de prison.















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