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     Mais contre qui ?

     

     

    un terroriste, un mafieux, un islamiste…

     

     

    Non seulement contre un Policier Républicain Patrice VERDI qui dénonce la 

    Pédophilie

    D’ETAT

     

     

    Tous les moyens sont utilisés depuis 2001 pour le faire disparaître socialement et ça continue….

     

    ELUS POLICE GENDARMERIE JUSTICE HUISSIER AVOCAT BANQUIER

    MEDECIN PSYCHIATRE et autres agents dévoués…

     

    Toute cette bonne société se complet dans la destruction sociale d’une famille Française,

     

    Au profit d’une volonté politique non dissimulée de protéger les notables pédophiles !

     

    Appel de l’Organisation Citoyenne d’Information contre la Corruption

     

     

    Appel à la reconnaissance de la Pédophilie d’État

     

     

    Il y a à peine vingt ans, il était difficile de concevoir l’existence de la pédophilie.L’association Le Bouclier dirigé par Bernard Valadon, aujourd’hui disparu,avait alors réalisé un formidable travail d’information. Il était impensable, à l’époque, d’imaginer qu’il puisse y avoir pire ! Aujourd’hui, les affaires se multiplient montrant l’existence de ce qu’il serait judicieux d’appeler une Pédophilie d’État, à savoir qu’ « un certain nombre de “notables”,politiques, magistrats et hauts fonctionnaires, disposant de pouvoirs institutionnels conséquents, sont “tenus” par des systèmes mafieux aux travers de “loges sataniques” criminelles qui utilisent le sexe et ses dérives les plus perverses, la torture et les meurtres collectifs, tout scandale étant écarté par un système judiciaire aux ordres où les accointances “maçonniques” jouent un rôle majeur. » (Voir Les dessous de l’affaire Allègre)

     

    Ainsi, et pour prendre quelques exemples, Le Canard Enchaîné du 23 juillet 1997 avait dénoncé : « Lors de l’opération lancée par la gendarmerie contre les acheteurs de cassettes pédophiles, on avait aussi remarqué l’absence de certaines catégories professionnelles, dont celle des magistrats. Soixante et onze d’entre eux figurent pourtant sur la liste de ces clients ! » Il a donc suffit d’une seule opération de gendarmerie dans les milieux pédophiles pour y trouver impliqués pas moins de 71 magistrats français (soit 1 % de notre magistrature) ! Dans ces conditions, comment s’étonner que tant d’affaires de pédophilies soient étouffées…

     

    On se rappelle tous de « la petite » affaire Dutroux, pédophile notoire et criminel. Mais où est passé « la grande » affaire Dutroux ? Cette intrigue apportait les preuves que Dutroux était membre d’un important réseau impliquant de nombreux notables belges jusqu’aux plus hautes sphères de l’État. Les témoignages de Mademoiselle Régina Louf sont, sur ce sujet, plus qu’accablants !

     

    Monsieur Stan Maillaud, après avoir diffusé le témoignage d’un enfant victime (voir sur internet « l’affaire Vincent ») se voit menacé de mort et obligé de fuir les instances politico-judiciaires de notre pays. Son site internet lepeededamocles.info et les informations qu’il contenait ont été purement et simplement supprimés.

     

    Monsieur Marcel Vervloesem est en train de mourir en prison. Son crime ? Avoir donné à la justice un CD Rom regroupant 8500 documents de 472 enfants violés.Les autorités belges pourraient ainsi détruire les pièces à conviction concernant les auteurs de crimes sur 90.081 enfants victimes (en vertu de la loi limitant la conservation des données à caractères personnels à la durée d’une enquête).

     

    Il est évident, au vu des nombreux témoignages, que ces groupes rassemblent ce que le domaine psychiatrique nomme des pervers narcissiques. À savoir :« Des individus présentant une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale. Ils ont un total mépris pour toutes lois ou contraintes. Leur éthique est, le plus souvent, celle de la loi du plus fort et/ou du plus rusé. Il y a, dans leur comportement, la banalisation du mal et une « relativisation » de la morale, dans le cadre d’un nihilisme opérationnel, qui peut même être militant. »

     

    A toutes fins utiles,

     

    en cas de décès brutal, d’arrestation, d’internement, de disparition, de détention, de

     

    ‘ harcèlement judiciaire récursif permanent et dès à présent établi ’ ou de mort

     

    suspecte, de Monsieur Patrice VERDI ou d’un membre de sa famille, un seul numéro à

     

    composer en priorité pour informations :

     

    01 42 92 81 00

     

    Vive La Démocratie et Vive la France !

     

    A CANNES LA CAPITALE NATIONALE DU FRIC TOUT EST DEVENU POSSIBLE SURTOUT

     

    L'INACCEPTABLE CAD LA CONDAMNATION SOCIALE SYSTEMATIQUE D’UN DEFENSEUR DES ENFANTS.

     


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     Le 28/04/2010 à 12h00, en compagnie de ma fille Victoria et de mon ami ivoirien Elie, mon attention est attirée par un individu de type européen d’une soixante d’années qui se trouve dans le parc de jeux pour enfants face à la crèche des petits lutins située dans la commune de Mandelieu la Napoule en FRANCE.

     

    Cet individu s’adresse à mon ami Elie en précisant qu’il suffit de secouer un arbre sur n’importe quelle île pour y trouver un nègre, ce qui représente un délit dans un Etat de Droit.

     

    Puis ce Dernier s’adresse à moi avec dédain, il prétend être un mathématicien et un philosophe, il tente de créer à l’image d’un de ses confrères, une réaction épidermique de ma personne , en affirmant avec une conviction évidente :

     

    - Les chambres à GAZ n’existent pas car mon père a été déporté et il me l’a affirmé !

     

    Nous pouvons donc confirmer que ce raciste est en plus un négationniste , ce qui est second délit mais ne me surprend guère car l’antisémitisme est une forme particulière de xénophobie et donc de bêtise humaine.

     

    Dernier point et non le moindre :

     

    D’après ce grand criminologue qui dévoile son jeu : Toute personne aura tué au moins une autre personne avant ses cinquante ans.

     

    Je ne réponds pas à cette affirmation malsaine et je comprends l’astuce, il a son enregistrement dont il va tirer son rapport d’expertise.

     

    Conclusion :

     

    Monsieur , Vous avez joué et perdu.

     

    Je vous laisse comprendre pourquoi…

     

    A toutes Fins Utiles Pour Servir et Valoir ce que de Droit.


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     Le Calvaire de Regina LOUF ou X1

     
    Cette histoire risque de mettre la société belge à genoux. C'est un récit sordide qui a fait de son auteur l'un des personnages les plus diabolisés de son pays. L'histoire de l'enfance Regina Louf, au cours de laquelle elle fut l'esclave sexuelle de certaines des personnes les plus puissantes du monde politique et commercial belge est une bombe à retardement.


    D'après le témoignage de Louf, son cauchemar a commencé lorsqu' elle avait moins de trois ans. Envoyée vivre chez sa grand-mère dans la jolie station balnéaire de Knokke à la mer du Nord, Louf fut abusée par des dizaines d'hommes jusqu'à l'âge de douze ans. Parmi ceux qu'elle désigne comme ayant abusé d'elle lors de parties fines, se trouvaient quelques citoyens belges connus puissants - et pédophiles. Notamment, dit-elle, un politicien important aujourd'hui décédé, et un homme qui est toujours actif dans la politique européenne, des politiciens et des hommes d'affaires très connus.


    A son retour chez ses parents à Gand, lorsqu' elle avait 12 ans, elle fut donnée à l'amant de sa mère, qui devint son souteneur. Il l'obligeait à avoir des relations sexuelles avec lui et la prêtait à d'autres hommes contre de l'argent. Avec d'autres jeunes filles de son âge, elle fournissait des services sexuels à Bruxelles et Anvers, et même sur un yacht, propriété d'un belge fortuné. Certaines de ses amies ont survécu. D'autres sont mortes, et font partie des centaines d'enfants disparus, supposés morts, dans le pays où siègent les structures clefs de l'Union européenne.


    Regina Louf a commencé à raconter ses horribles histoires en 1996, lorsqu'on découvrit les corps de deux fillettes dans la maison de Dutroux - l'homme qui volait des enfants pour les livrer à des pédophiles. Elle a reconnu Dutroux, accusé d'avoir kidnappé et tué des jeunes filles dont les corps furent retrouvés dans sa propriété. Louf réalisa la chance qu'elle avait d'être encore en vie.


    Elle conteste la version officielle qui veut que Dutroux agissait seul et qu'il n'est pas membre d'un réseau pédophile. De plus, elle a affirmé que Dutroux et d'autres étaient protégés par des gens puissants, notamment des juges et des policiers. Les Belges, qui sont descendus dans la rue par centaines de milliers pour protester contre la manière dont les autorités avaient permis à Dutroux d'exercer son horrible commerce sans intervenir, semblaient partager l'avis de Louf. Globalement pourtant, les médias belges et l'establishment politique l'ont démolie en la décrivant comme une mythomane. Ceci aurait sans doute été la fin de l'affaire, s'il n'y avait eu les policiers qui ont examiné très soigneusement ses déclarations.


    Elle fut entendue par l'adjudant Patriek De Baets et lui raconta son histoire en détails, en donnant les noms des personnes connues dont elle affirmait qu'ils étaient des pédophiles. Il il fit des vérifications. Lui et ses collègues interrogèrent Louf et d'autres personnes, entre autres sa mère et son ancien souteneur, qui confirmèrent ce qu'elle racontait à propos des abus qu'elle avait subis quand elle était enfant. Le jour où le souteneur reconnut qu'il avait eu des relations sexuelles avec Louf quand elle avait 12 ans, l'enquête de De Baets fut close - le même jour où Dutroux s'évadait [brièvement].


    Au lieu de recevoir des moyens de vérifier ses dires, d'interviewer d'autres victimes dont elle avait cité le nom et d'enquêter sur les centaines de jeunes filles mystérieusement disparues  et décédées dans les années 70, 80 et 90, De Baets et son équipe furent écartés de l'enquête. Accusé d'avoir fabriqué des preuves et d'avoir suggéré des réponses à Louf, De Baets a passé ces quatre dernières années à tenter de laver son nom. Dans une saga qui rappelle l'affaire Stalker dans le nord, les policiers qui avaient eu pour mission de trouver la vérité ont vu leur hiérarchie se retourner contre eux. L'an dernier, toutes les charges et accusations portées contre De Baets ont été levées et il fut réintégré comme officier supérieur dans l'école de recherche de la police fédérale à Bruxelles.

     

    De Baets ne croit pas que Dutroux agissait seul. Il est convaincu qu'il y a des protections bien organisées qui couvrent un scandale d'abus d'enfants qui dure depuis longtemps. Ce qui semble crucial, c'est que certains éléments clef des témoignages de Louf sont corroborés par d'autres témoignages de victimes et de psychiatres qui ont examiné la jeune femme. De Baets et Olivier Dupuis, un Parlementaire européen belge qui représente une section locale dans le nord de l'Italie, sont d'accord sur le fait qu'il y a des protections qui sont exercées depuis les plus hautes sphères de la société.


    Louf, qui vit maintenant avec son mari Erwin et leurs quatre enfants,  tient une animalerie - pour chiens, chats et  chevaux - près de Gand, est déterminée à faire entendre sa voix. C'est la découverte des enfants kidnappées et assassinées en 1996 et l'arrestation spectaculaire de Marc Dutroux et son associé, Michel Nihoul, qui la poussèrent à révéler ses cauchemars du passé.


    "Quand j'ai vu qu'il avait été arrêté, j'ai témoigné auprès de la gendarmerie que j'avais vu Dutroux et Nihoul ensemble des années auparavant à Bruxelles," a déclaré Louf au Sunday Business Post, chez elle à Gand". J'étais une enfant prostituée, mon souteneur était un ami de la famille. Je savais que Dutroux recherchait des filles qu'il entraînait à satisfaire des pédophiles et des hommes qui voulaient avoir des rapports sexuels avec de jeunes enfants. J'ai assisté au meurtre de certains enfants, je n'étais donc pas fort surprise quand ils ont trouvé Dutroux et les corps. Plus tard, la police a fait le lien entre une fille disparue retrouvée morte et moi."


    Louf affirme connaître trois filles retrouvées mortes dans les années 80 et 90 en Belgique. Carine Dellaert avait 15 ans quand elle fut enlevée en 1982. Son corps fut retrouvé à Gand un an plus tard. Christine Van Hees avait 14 ans quand on la retrouva morte à Bruxelles en 1984. Catherine De Cuyper avait 16 ans quand on découvrit sa dépouille à Anvers en 1991. "Carine était ma meilleur amie" dit Louf. "On avait abusé d'elle quand elle était encore une petite fille. Les hommes qui abusaient de moi n'étaient pas toujours des politiciens ou de grands avocats, mais beaucoup d'entre eux avaient des moyens et étaient influents. Il y avait parmi eux des médecins, des avocats, des juges et des hommes d'affaires. Je les rencontrais dans des villas des environs de Bruxelles. J'avais appris à avoir des relations sado-masochistes et des relations sexuelles," dit-elle. Des films pornographiques étaient réalisés et on faisait des photos. J'avais presque 16 ans quand j'ai rencontré mon mari en 1984 et que j'ai échappé à ces gens."


    Cela lui prit des années avant de rompre définitivement avec son souteneur, parce qu'il essayait, avec des complices, de l'impliquer dans des meurtres dont elle avait été le témoin. "J'ai été abusée sexuellement, et quand ça avait été trop loin pour moi, ils appelaient des médecins pour m'aider. Je sais qu'ils avaient également "entraîné" des enfants âgés de trois ans. Il faut avoir un instinct de survie très fort et apprendre à maîtriser la douleur. Vous apprenez à ne pas hurler et ne pas pleurer, à composer des attitudes, à être loyal et à considérer ces hommes comme s'ils étaient vos dieux."


    "Je me souviens de beaucoup de noms, mais pas de tous. Je les ai dits à la police. J'ai cité de politiciens (nommé), des médecins, des avocats, des juges et des hommes d'affaires. Bien sûr, on a affirmé que j'avais simplement repris ces noms de la télévision, mais la plupart de ces personnes ne sont jamais apparues à la télévision. Mais certains d'entre eux étaient très connus. Un ancien grand politicien (elle cite le nom) est actuellement décédé. Un autre (elle cite le nom) est toujours en politique à un niveau élevé. Une personne fait partie de l'industrie des armements (elle cite le nom), un autre travaille dans le cinéma (elle cite le nom), un autre est dans le commerce des vêtements (elle cite le nom). Mon souteneur a reconnu auprès de la police qu'il a abusé de moi pendant des années, mais il n'a jamais été inculpé. Il n'a pas non plus cité le nom des nombreux clients que j'ai satisfaits pour lui."


    Le 9 septembre 1996, Louf fut entendue pour la première fois par Patriek De Baets et les officiers désignés pour enquêter sur l'industrie pédo-pornographique après l'arrestation de Marc Dutroux. "Ils m'ont prise au sérieux. Il n'était pas question de croyance. Ils se sont aperçus que ce que je leur disais correspondait à leurs recherches. Après plusieurs mois, ils furent écartés de l'enquête et accusés de m'avoir manipulée. Actuellement, ils ont été réhabilités. Certains de mes clients faisaient partie de la gendarmerie."


    Une affaire célèbre de corruption datant de la fin des années 70 impliquant un réseau fournissant des prostituées à des hommes d'affaires, notamment étrangers, correspond aux allégations de Louf. On les compromettait en les photographiant au lit avec des enfants. Des contrats commerciaux juteux étaient assurés par le chantage à la pédo-pornographie.


    L'un des juges (nom connu) qu'elle rencontra lors d'une partouze, était impliqué dans l'enquête sur l'une des jeunes filles qu'on avait retrouvées mortes après leurs disparitions. Les enquêtes ne menèrent ni à des arrestations ni à des condamnations.


    "Ma mère est décédée en 1998, mais mon père vit toujours," dit-elle. Elle affirme que son père nie ce qui s'est passé. Avant de décéder, la mère de Louf a reconnu qu'elle avait autorisé sa fille à être prostituée par sa grand mère et par le souteneur qui s'occupa d'elle ensuite. D'après De Baets, la mère de Louf avait elle-même été victime d'abus sexuels massifs organisés par sa propre mère à Knokke.


    "Quand j'étais avec ma grand mère, depuis l'âge d'un an et demi jusqu'à l'âge de 12 ans, j'étais abusée sans arrêt," déclare Louf. Lorsque j'ai eu 12 ans, j'en ai parlé au principal de mon école qui lui-même est allé parler à ma grand-mère. Elle m'a envoyée chez mes parents à Gand en prétendant que j'étais folle. Je pensais que c'en était fini des abus, mais ma mère m'a prêtée à son amant (cite le nom). Cet homme prêtait des enfants contre de l'argent. Il avait la clef de notre maison et venait me violer quand bon lui semblait. Quand j'en ai parlé à un professeur à Gand, celui-ci est allé voir mes parents, puis il m'a accusée d'avoir inventé des histoires.


    "Un jour je me suis retrouvée sur un yacht avec (le politicien connu). Je le rencontrais à Bruxelles, à Gand et Anvers, parfois deux à trois fois par mois. Le bateau appartenait à (elle cite le nom) qui est très riche. Je me souviens du nom du bateau, de la couleur du mobilier. Je me souviens même de l'immatriculation de son véhicule et je peux le décrire."


    Le politicien belge a nié auprès du Sunday Business Post avoir jamais assisté à des partouzes, bien qu'il confirme avoir été sur le bateau de l'homme d'affaires. Il conteste certains points du récit de Louf et déclare qu'il ne l'a jamais rencontrée de sa vie. Louf est formelle quant au fait qu'elle connaissait cet homme et qu'il participait à des orgies en différents endroits.


    "J'ai raconté tout cela à la police, mais je pense qu'il n'arrivera jamais rien aux auteurs" dit Louf. L'un des procureurs chargés de l'enquête a déclaré que même si 5 % de ce que je disais était vrai, cela constituerait un  scandale qui ferait exploser la Belgique. Il existe également des liens avec les Pays-Bas et la France. Ces personnes enlevaient des filles dans la rue. Quand on a arrêté Dutroux, j'ai cru que les autres tomberaient, mais la police belge et les médias ne recherchent pas la vérité."


    La police a maintenant préparé deux versions contradictoires de son témoignage. Elle a rédigé sa propre version, qui a été traduite en français et en anglais. Son histoire ne disparaîtra pas.

    Pourquoi 
    il faut écouter

    Régina Louf


    À l'encontre de l'opinion la plus répandue selon laquelle elle est une folle ou une agitatrice, le psychiatre Marc Reisinger s'est engagé dans la défense de Regina Louf. Pourquoi ? C'est ce qu'il essaie inlassablement d'expliquer, jusque dans la postface du livre où elle publie ses mémoires.

    L'affaire Dutroux, depuis qu'elle a éclaté au grand jour, a été l'occasion d'une livraison régulière d'ouvrages qui tentent d'apporter leur éclairage sur tel ou tel aspect de la problématique. Maltraitance d'enfants et crise de la justice, guerre des polices ou capacité d'une société démocratique à bien gérer ses faits-divers, entre le secret de l'instruction, les droits de la défense et la protection des victimes... alimentent la réflexion de journalistes et d'intellectuels. Et voici que l'un des témoins de Neufchâteau dans la thèse d'un réseau de pédophilie, Regina Louf, alias X1, a elle aussi pris la plume. Dans Silence on tue des enfants !, elle raconte le long calvaire de son enfance et de son adolescence, prostituée dès son plus jeune âge par sa grand-mère puis par un ami de ses parents, et poursuit en décrivant l'enquête qui a tourné autour de sa déposition, et l'extraordinaire campagne de dénigrement dont elle-même fait l'objet depuis plus d'un an.

    Ni folle, ni mythomane 
    concluent les médecins !

    Face à ce livre, il ne s'agit certainement pas de se positionner en sceptique ou en convaincu avant de l'avoir lu. Car, pour insoutenable qu'il soit parfois, il donne à comprendre de l'intérieur les mécanismes qui permettent à des adultes pervers d'installer et de maintenir leur domination sur des enfants, et le processus qui permet à des victimes de résister à une souffrance inhumaine. Or, si le discours ambiant fait de Regina une folle et une affabulatrice, c'est totalement à l'encontre de l'expertise rendue en septembre 97 par un collège de psychiatres menés par le Pr Igodt, de la KUL, à la demande de Neufchâteau. Pour eux, cela ne fait aucun doute, vraiment elle a été traumatisée par des abus sexuels massifs mais grâce à une thérapie qui a duré des années, elle a retrouvé un équilibre. Le témoin peut donc être utilisé comme un élément de l'enquête,concluent-ils, ajoutant que son témoignage seul ne peut être considéré comme une preuve en soi. Sauf à être confirmé par une source indépendante.

    Le Dr Marc Reisinger est comme tout le monde. Dès qu'il en entend parler, ce récit de X1 le choque, lui semble inimaginable. Mais ce n'est pas parce que ce qu'elle décrit est incroyable qu'elle l'a inventé, ni parce que c'est révoltant qu'elle est une agitatrice, comme on l'a lu par ailleurs. A ses yeux, face au dilemme qu'inspire le témoignage de Regina, la seule attitude valable est d'écouter et de chercher à s'informer. C'est pourquoi lui a continué à se renseigner. Et que constate-t-il ? Qu'il existe un hiatus de plus en plus grand entre les faits décrits par la jeune femme et le discours tenu à son propos. Or, il peut être raisonnable de se fier à l'opinion générale dans des matières que l'on connaît mal, dit-il ; par contre, lorsqu'on approfondit un sujet, il ne faut pas se soumettre aux idées reçues, mais en revenir à un questionnement inlassable. C'est le fondement même de la pensée rationnelle, avec Platon qui distinguait l'opinion (doxa) du savoir (scientia). Et lorsqu'elle s'avère non fondée, il faut pouvoir défier l'opinion.

    C'est pourquoi, au moment où la presse se met à vilipender Regina Louf sans autrement relayer les déclarations qu'elle a faites, Reisinger souhaite ramener un peu de raison dans le débat. Avec d'autres, il crée une ASBL dont l'objet est de faire connaître la gravité des événements qu'elle décrit et de surtout mettre en évidence les questions en suspens, qui s'accumulent de manière qu'il juge malsaine. Mais en fait de débat, l'on parla alors de volonté de déstabiliser la justice, et la controverse prit l'allure d'une véritable chasse aux sorcières.

    Lire, et penser tout seul

    Depuis, Regina Louf a publié son livre, qui parle pour elle-même, et Marc Reisinger l'a postfacé. Le moins que l'on puisse faire n'est-il pas de les écouter, et d'accepter la confrontation avec un récit aussi pudique, quoi qu'on en dise, qu'il était possible, plutôt que de s'en remettre au jugement des autres, au risque de cautionner l'instauration d'une pensée unique... Ces pages, comme le dit le Pr Léon Schwartzenberg, sont autre chose qu'un livre : c'est un cri maintes fois répété qui aurait envie d'être un hurlement pour la terre entière et qui, devant la surdité du monde, devient un gémissement, une longue plainte solitaire, des sanglots, des pleurs qui finissent par s'assécher, tant ce que vit cette petite fille est au-delà des larmes.

    http://www.dailymotion.com/playlist/x18mwo_Tonino17-_regina-louf

     

    Silence on tue des enfants ! par Regina Louf, préface de Léon Schwartzenberg, postface de Marc Reisinger, aux Editions Mols, collection Pour la vérité, 318 pages.

     


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    En 1842, la Scala commande un opéra à l’un de mes ascendants, Nabucodonosor, et c'est un immense triomphe.

    C'est dans cette œuvre, qu' apparaît le génie novateur de Verdi : un langage lyrique violent et populaire, où le peuple émerge à travers les chœurs comme un personnage épique et indestructible.

     

    Je vous transmets certaines questions qui devraient vous amener à comprendre les dérives d’un SSystème.

     

    1 : La Boîte (DGSE) a perdu deux de ses hommes le 30/03/09 par la déflagration des explosifs placés sur un

    véhicule. Mais pour quel type d’entraînement, certainement pas d’OP du style SATANIC ?

     

    La DGSE compte 4.500 agents, dont 3.200 civils, et 1.300 militaires pour un budget de 450 millions d'euros, sans compter les fonds spéciaux. Elle appartient à la communauté française du renseignement (14.000 hommes et femmes) et a succédé en 1982 au Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (Sdece).

     

    2 : Les Réseaux Pédophiles sont le socle qui canalise de nombreuses actions des services de renseignement.

     

    3 : Les Politiques Français et Etrangers couvrent ces réseaux car beaucoup trop de notables y participent.

     

    4 : Marcel VERVLOESEM est torturé quotidiennement.

     

    5 : BOULIN aurait été assassiné par le réseau FOCCART pour couvrir la corruption politique.

     

    6 : Le 11/09/01 des explosifs militaires auraient été utilisés à NY pour les deux tours du WTC.

     

    7 : JPK serait mort pour 300 Millions d’Euros , BEREGOVOY pour 3,5 Milliards de dollars versés en SUISSE.

     

    8 : La Cinquième République a révélé intégralement le pouvoir des affairistes de la Franc-Maçonnerie et du code 322.

     

    Le Virus ANTI-POLITICO-PEDOPHILE se propage donc désormais comme une traînée de Poudre sur L’UE :

     

    Liste des REVOLUTIONNAIRES COURAGEUX qui refusent ou ont refusé avec courage de se taire :

    nnes :

    Serge Garde

     Laurence Beneux

    Procureur Bréard

    Jean Pierre Mocky

    gendarme Gut Geubels (RIP)

    Capitaine de police Alain Vidal

    gendarme jambert(RIP)

    inspecteur Jean-marc Houdmont (RIP)

     gendarme roussel

     policier marc silva

    patricia poupard

    gendarme stan maillaud

     fils de juge assassiné Charles et diane Roche,

    Les princesses de croy

    Maria Maoloni,

    Karl zéro,

    olivier Bonnet,

    Marcel Vervloesem,

    Martine Nisse,

    Martine Bouillon,

    george glatz,

    Jan Boeykens,

     

    Mais aussi :

     

    Le Policier Patrice VERDI qui a été déclaré saint d’esprit par le Professeur ROURE (C’est ennuyeux pour BCP de MONDE)

     

    Les 15 parlementaires qui demandent des explications sur la mort du juge Pierre Roche, et tant d'autres qui dénoncent ces crimes odieux et 

    sont aussitôt traités de FOUS ou de menteurs.

     

    MESSAGE PERSONNEL

     

    A TOUS LES CITOYENS

     

    PROTEGEZ VOS LIBERTES , ELLES DISPARAISSENT COMME VOS ENFANTS !

     

     

    PS : A CANNES ON ENFERME PAS LES ORDURES

     

    ON LES PROTEGE DEPUIS TROP LONGTEMPS!!!

     

     

     

    PEDOPHILIE ET CINQUIEME REPUBLIQUE

     

    Jean-Pierre MOCKY

     

    CENSURE

     

     

    Avec Les ballets écarlates, Jean-pierre Mocky s'attaque à l'un des sujets les plus douloureux de notre société : la pédophilie. Si le cinéaste a déjà traité ce thème (Noir Comme Le Souvenir et Le Témoin), il l'aborde ici de manière abrupte et violente. Entre militantisme forcené et dénonciation agressive, Les ballets écarlates s'impose comme le film le plus éprouvant jamais réalisé par Mocky. Dès les premières minutes, il dévoile ses intentions : des enfants de 7 à 10 ans, réunis dans une belle et immense demeure, se dénudent et rejoignent un salon où les attendent des notables pervers et obscènes. Le ton est donné. Jean-pierre Mocky filme la scène avec toute la froideur et la cruauté qu'exige un tel sujet. A l'origine du scénario, l'enlèvement de la petite fille d'un journaliste de France Info. Libérée trois jours plus tard, la fillette traumatisée n'a pas prononcé un mot depuis des mois. "La presse s'empare de ces crimes, mais elle parle moins des jeunes victimes de rapt qui reviennent à la maison", explique le réalisateur. D'où l'intrigue des ballets écarlates. Celle de cette mère qui voit débarquer chez elle un enfant échappé du réseau pédophile et qui décide de faire justice elle-même. Avec Les Ballets écarlates, Mocky se montre radical et sans compromis.

     

    http://www.dailymotion.com/video/xc76px_jean-pierre-mocky-et-la-pédophilie_news

     

    MARCEL VERVLOESEM EST UN DETENU POLITIQUE BELGE QUI EST EMPRISONNE

     

    ET ISOLE ACTUELLEMENT A ST GILLES POUR LA PROTECTION JUDICIAIRE ET POLITIQUE

     

    DES RESEAUX PEDOPHILES MAFIEUX QUE CET HOMME A DENONCE PUBLIQUEMENT.

     

    LIBERONS CET HOMME MOURANT DES TORTURES MORALES ET PHYSIQUES QUE L’UE 

     

    FAIT SUBIR A CE DREYFUS DU XXIe SIECLE.


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